Les chemins qui dévalent de nos collines sont souvent très pentus. En l’absence de goudronnage, lors des orages, c’est un flot intense et continu d’eau boueuse qui dévale la pente. Le ravinement est intense. Le débouché du chemin sur la route départementale, tout en bas du trajet, est souvent le plus exposé. Après un épisode cévenol, s’engager sur de tels chemins devient une gageure. La solution : couler une couche conséquente de béton sur les derniers mètres du parcours.
C’est l’entreprise Jouvert qui a effectué les travaux sur l’un des chemins de Maraval. Le deuxième, au dessus de la Nougarède attendra un peu, car il était bloqué par les camions des agents d’EDF occupés à des réparations sur les pylônes. Après un court temps de séchage, l’accès au chemin sera grandement facilité.
(Jean-Marc Garnier – Correspondant de Saint Jean de Valériscle – Article paru dans Midi Libre le 01/03/2015)