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LA SAGA : UN VILLAGE COUPE DU MONDE
Episode 1
Il était une fois un village perdu sur un continent inconnu. Autour survivaient des hameaux isolés … Non, non, il ne s’agit pas d’un conte des Mille et une nuits, mais plutôt d’une réalité des mille et un ennuis.
Depuis plusieurs semaines, plus d’internet et plus de téléphone fixe chez les uns puis chez les autres. Dans les profondes vallées cévenoles, le portable ne passe pas toujours !
Réclamations, changements de Box pour certains, branchements erronés pour d’autres, les problèmes sont toujours là.
Retour de la connection pour quelques heures, une journée et puis plus rien. Coupure de câbles pour des travaux par-là, vol de câbles ailleurs par des récidivistes qui pensent rester impunis … et toujours les mêmes réponses des fournisseurs d’accès : « On s’occupe de vous, la liaison sera rétablie … un jour, après le week-end peut-être… ou plus tard». L’abonnement lui court toujours, mais en cas de nécessité ou d’urgence : Comment fait-on ?
Il serait temps que les voyous coupeurs de câbles soient neutralisés et que des interventions pérennes soient entreprises afin que chacun, particuliers, personnes âgées, commerçants ou entreprises puissent bénéficier enfin des techniques modernes de communication et retrouvent enfin la sérénité.
Episode 2
Il était une fois un village perdu sur un continent inconnu. Autour survivaient des hameaux isolés … Non, non, il ne s’agit pas d’un conte des Mille et une nuits, mais plutôt d’une réalité des mille et un ennuis.
Il y a comme une impression de déjà lu dans ces premières lignes ! Oui car en juillet, puis en août, et maintenant en septembre, le village a été coupé du monde, sans internet et sans téléphone fixe pendant plusieurs jours. Et cela a recommencé depuis vendredi 22 suite au nouveau vol des câbles téléphoniques.
« Quand j’ai vu le boîtier clignoter à côté du téléphone, j’ai paniqué ! » a déclaré une grand-mère munie de son bouton alerte devenu totalement inutile. « Et si je me tombe, comme l’autre jour, en début de soirée, il va falloir attendre le lendemain l’infirmière pour m’aider à me relever… Si mon cœur a tenu jusque-là ! »

Un bracelet d’alerte devenu bien inutile et … beaucoup d’angoisse pour celles qui en ont un besoin impérieux
Car dans le village habitent des personnes qui vivent seules à leur domicile. Ces personnes, souvent très âgées, ont besoin de soin et d’assistance à domicile. Mais l’absence de moyens de communication les prive une fois de plus de cette faculté rassurante d’appeler au secours.
Quand les enfants habitent les villages voisins, c’est une visite matin et soir qui s’impose. Sinon, si les descendants sont éloignés, il faut compter sur la bonne volonté des voisins. Mais quand la nonagénaire habite dans un mas isolé, le problème est encore plus stressant pour la famille.
Il serait temps que les voyous voleurs de câbles soient neutralisés et que des interventions pérennes soient entreprises afin que chacun, particuliers, personnes âgées, commerçants ou entreprises puissent bénéficier quotidiennement des techniques modernes de communication et puissent retrouver enfin la sérénité.
Episode 3
Les problèmes de coupures des communications Internet et téléphone fixe sont récurrents depuis le mois de juillet sur le village, suite aux vols à répétition des câbles.
Les personnes âgées disposant d’une alerte téléphonique se sentent totalement démunies en cas de chute ou de problème de santé. Les entreprises et les personnes fonctionnant en télé travail, dépourvues de moyens de communication, sont en grandes difficultés techniques et relationnelles. Et tout un chacun se sent bien en peine, ne pouvant plus donner ou recevoir des nouvelles de la famille et des amis.
Véronique Fontaine, interlocutrice chargée des relations d’Orange avec les collectivités locales, est venue, avec son collaborateur technique, rencontrer les élus pour envisager des solutions afin d’éradiquer les aléas de cet isolement. Elle a précisé que les câbles de remplacement n’étant pas disponibles sur place, la réparation de la coupure actuelle ne sera effective qu’à la fin de cette semaine
Des propositions ont été faites pour la mise en place de la fibre optique, plus sécurisante, car d’aucun intérêt financier pour les voleurs.
Les préparatifs passeront par des sollicitations auprès de la préfecture et de madame la députée afin de mener à bien les démarches administratives et faire avancer le dossier pour obtenir les différentes autorisations.
Une recherche d’emplacement susceptible de recevoir une antenne qui diffuserait sur l’ensemble du village et même au-delà va être initiée.
Cette mise en place devant prendre de nombreux mois, un appel sera lancé auprès de la gendarmerie pour que, en cas de nouveau vol, une intervention plus rapide et plus efficace des autorités militaires soit mise en place.
Il est recommandé aux personnes impactées par toutes ces pertes de communication de faire individuellement une requête de remise gracieuse auprès de leurs fournisseurs d’accès.
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ILS ONT RETROUVE LE CHEMIN DE L’ECOLE
Après deux mois de repos, les petits St Jeannais ont repris le chemin de l’école.
Cartable sur le dos, sourire plus ou moins crispé aux lèvres, ils étaient là à l’heure du premier rendez-vous de rentrée de cette nouvelle année scolaire
Avec plus ou moins d’enthousiasme, avec l’angoisse de lâcher la main de maman, ou au contraire avec la force de caractère de celui qui en veut et ne se laisse pas émouvoir, ils ont répondu présent à l’appel de la directrice.
Les trente-deux élèves de l’école du village se sont installés sagement à leurs bureaux respectifs pour une année scolaire revenue aux quatre jours.
Deux classes cette année et une équipe pédagogique entièrement renouvelée.

La nouvelle équipe : Elsa Mocquet, directrice, Sophie Abric pour les maternelles et les CP et Séverine Martinez Atsem ont été présentées par Grégory Savit conseiller municipal
Elsa Mocquet, nouvelle directrice, professera dans la classe des CE1, CE2, CM1 et CM2.
Sophie Abric assurera la classe pour les douze enfants de maternelle et les trois de CP. Elle sera aidée par Séverine Martinez la nouvelle ATSEM.
Dans un cadre agréable, avec des classes équipées de moyens d’enseignement modernes, nul doute que les élèves trouveront avec leurs enseignantes les motivations nécessaires pour progresser comme il se doit lors de cette nouvelle année scolaire.
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LES 16e FOULEES ANALYSEES POUR AMELIORER ENCORE LA QUALITE
Petite info : Les problèmes d’internet ont paralysé les communications du village à plusieurs reprises. Le correspondant n’a pu envoyer en temps utiles ses articles sur le blog de St Jean. Petit à petit, les lacunes seront comblées ! Merci de votre compréhension.
Le service municipal Culture et Loisirs avait invité les bénévoles de l’organisation de la manifestation sportive estivale pour la présentation du bilan moral et financier de la 16e édition des Foulées de l’Auzonnet.
L’adjoint aux sports a commencé par des remerciements à tous les présents, ainsi qu’à l’Association Familiale pour l’utilisation du Centre Familial en tant que salle logistique. A noter que tous les sportifs participants, dont beaucoup reviennent depuis de nombreuses années, ont été satisfaits cette année encore, du parcours et de l’ensemble des prestations proposées.
Après une discussion générale sur l’organisation, les différentes étapes de la préparation et du déroulement de cette course ont été passées en revue.
Quelques petits problèmes techniques ont été évoqués : machine à bière peu performante, éclairage des tables pour le repas du soir insuffisant, ainsi que d’autres détails qui seront bien sûr corrigés l’année prochaine. Un satisfécit général a été accordé pour l’utilisation des gobelets recyclables à l’effigie de l’Agglo d’Alès.
Ce débat fructueux et positif a été suivi d’un apéritif dînatoire en remerciement des efforts consentis par les élus et les bénévoles.
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RÉUNION DE PRÉSENTATION D’UNE MUTUELLE COMMUNALE
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NOUVELLE PROCÉDURE POUR LES PERMIS DE CONDUIRE ET CARTES GRISES
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UN VILLAGE A VISITER (5) RESCLAUSES, MOULINS ET MARTINETS
L’histoire connue de la Vallée de l’Auzonnet ne remonte qu’au Moyen âge.
A cette époque, de nombreux barrages permettaient d’alimenter des canaux dont l’eau entraînait diverses machineries. Ces barrages s’appelaient « resclauses », d’où l’origine probable du nom du village : « Valléa resclausa » vallée des resclauses devenu au fil du temps Valériscle.
La force motrice de l’eau actionnait des moulins à farine, des moulins à huile, mais aussi des « martinets ».
Le sous-sol regorge de minerai de fer et les collines étaient boisées de chênes verts, matière première pour la fabrication du charbon de bois, nécessaire pour chauffer le minerai.
Ces deux éléments ont facilité l’implantation d’une industrie métallurgique pour la fabrication d’outils pour les travaux des champs, et surtout pour la fabrication de clous appelés « tachos ».
Les roues à aube entraînaient un arbre à cames qui soulevait une poutre au bout de laquelle était fixée une pièce de fer (le mal) servant de marteau. Ce marteau se levait et s’abaissait en cadence et le forgeron, tournant son fer rougi façonnait les outils au rythme de la roue à aubes.
Guerres, pillages et crues de l’Auzonnet ont eu raison de cette industrie dont il ne reste que peu de traces. Seul le village du Martinet a conservé ce souvenir dans son nom et ses habitants se prévalent toujours du nom de « Pico tachos » (tapeurs de clous) !
Cette activité artisanale, les moulins à blé ou à huile a assuré, bien avant l’exploitation du charbon, la vitalité de la vallée.
Les martinets et les moulins ont disparu emportés au fil des ans, par les crues impétueuses de la rivière. Seules subsistent quelques « resclauses » et des bribes de béals amenant l’eau aux moulins.
Un moulin avec ses roues à augets et ses meules existe encore en assez bon état au Coussac, sur la commune des Mages.
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UN VILLAGE A VISITER (1) DES MURETTES JUSQU’AU SOMMET DES COLLINES
Ce qui frappe le visiteur qui arrive dans les Cévennes, ce sont toutes ces murettes de pierre sèche qui montent jusqu’au sommet des collines.
Nos ancêtres, étaient partis à la conquête des flancs des montagnes. Sur ces pentes, où il y avait beaucoup de pierres, la volonté de retenir le peu terre trop facilement emportée par les eaux de ruissellement est rapidement devenue une nécessité. Ainsi au fil des siècles sont apparues ces murettes impressionnantes crées de la main de l’homme. Sur ces faïsses, bancels ou traversiers, selon les villages, une culture vivrière a pu se mettre en place.
C’est ainsi que le village est devenu grand fournisseur d’oignons. Des caravanes de mules partaient jusqu’à Alais où la marchandise était vendue. La réputation de ces oignons a permis au village de recevoir le nom de « St Jean des Cèbes » (la cébo étant le nom occitan de l’oignon), appellation officielle qui figure sur des cartes anciennes.
Vignes et oliviers se sont accrochés au moindre lopin de terre, et si quelques olivettes sont encore entretenues, les vignes courent dans la forêt, et le clinton vin spécifique des Cévennes, n’est plus tiré.

Les murettes enserraient aussi les drailles pour empêcher chèvres et moutons de venir brouter les terrains cultivés
Le châtaignier l’arbre à pain dont les fruits ont assuré la survie des Cévenols pendant des siècles, trône encore sur les sommets des collines. La nécessité du boisage dans les mines de charbon a transformé en partie nos collines. Le bois de pin ayant l’avantage de « crier » avant de se casser lors des éboulements, a imposé la plantation de pinèdes qui fournissaient ce bois de protection pour les mineurs.
Posted in AGRICULTURE, PATRIMOINE, TRADITIONS
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UN VILLAGE A VISITER (4) LA SEIGNEURIE DES BUDOS ET LA BARONNIE DE St JEA
Dans le livre de Gérard Delmas sur la Vallée de l’Auzonnet, on découvre tout un pan de l’histoire du village qu’il a pu reconstituer par des recherches minutieuses.
Ainsi, la mention la plus ancienne du village de St Jean se trouve dans l’hommage que Bernard de Ferreyrolles fait en août 1163 à Bernard Pelet, Baron d’Alais.
En 1239, le château, dont la construction est antérieure à cette date, dépend de Bernard IX d’Anduze. Il est donc dans la mouvance de la Seigneurie de Portes qui est vendue à Raymond-Guillaume de Budos.
A cette époque, les textes montrent l’existence de deux seigneurs dominants et six seigneurs mineurs qui habitent le « château » (enceinte fortifiée du village) soit 16 feux et 70 personnes environ. On ne connait pas la population du village à cette période.
C’est en 1322 que Raymond Guillaume de Budos acquiert la Seigneurie de Portes et donc celle de St Jean.
En 1613, le roi érige le vicomté de Portes en marquisat et la seigneurie de St Jean en baronnie.
Le 8 mars 1629, lors des guerres de religion, l’église et le château sont partiellement détruits. Si l’église est réhabilitée grâce à l’intervention du prieur Henri Gallice, le château ne sera réparé qu’en 1759. Par la suite, il deviendra propriété des Houillères pour devenir logements de mineurs. Une boulangerie, dont le four était installé dans la tour a fonctionné pendant de très nombreuses années.
Ce château, aujourd’hui propriété privée, avec sa tour malheureusement décapitée domine toujours le quartier médiéval du Barry.
Si le château ne se visite pas, il est possible de déambuler dans les ruelles étroites et tortueuses du quartier médiéval où des pierres gravées surprendront les curieux.
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DOUBLE ARC EN CIEL AU DESSUS DE LA VALLEE DE L’AUZONNET
Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet telles sont les couleurs de l’arc en ciel. Ce phénomène se produit lorsqu’une partie du ciel est sombre et qu’il pleut, alors que dans l’autre partie le soleil éclaire les gouttes d’eau. C’est la dispersion de la lumière qui nous permet de voir ces belles couleurs.
L’arc en ciel a toujours fasciné les hommes. Dans de nombreuses religions, ce serait un pont ou un chemin entre terre et ciel. Signe d’alliance avec Dieu, il est apparu à Noë à la fin du déluge. C’est pour cette raison qu’il est signe de joie et de gaité, puisqu’il annonce la fin de la pluie et le retour du beau temps.
Selon certaines légendes, il y aurait un chaudron plein d’or au bout de l’arc en ciel … Pourquoi ne pas rêver en observant la beauté irisée d’un bel arc en ciel !
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UN VILLAGE A VISITER (3) : UNE EGLISE ROMANE BÂTIE SUR UN TEMPLE ROMAIN
Une belle bâtisse au cœur du quartier médiéval mérite le détour.
Construite au milieu du XIIe siècle, moultes fois remaniée et agrandie, l’église du village a été restaurée il y a quelques décennies.
Elle a été construite sur l’emplacement d’un temple romain dédié à Mythra, culte pratiqué par les légionnaires romains qui ont occupé la vallée au début du premier millénaire. En effet, on peut découvrir sur l’imposte des voûtes des chapelles latérales deux pierres sculptées. Ces pierres de réemploi représentent une tête de taureau tirant la langue, statuaire spécifique des lieux de culte dédiés à Mythra.
Au IVe siècle, une église chrétienne a remplacé ce temple.
Des réparations nécessitées par la destruction de l’édifice durant les guerres de religion ont été réalisées dans les années 1630. A cette occasion, Henri Gallice, prieur du lieu a fait graver dans la pierre : Cet antique édifice a été honoré par le Labarum de Constantin I e. Le Labarum était l’étendard impérial sur lequel l’empereur romain, après sa victoire sur Maxence, avait fait broder la croix du Christ et la maxime : « Par ce signe tu vaincras ».
Cet empereur, converti au christianisme, avait envoyé des missionnaires pour apporter la Bonne Nouvelle dans les provinces annexées. Une mission serait donc venue prêcher à St Jean.
Tête de taureau tirant la langue : symbole du culte de Mythra du début de l’ère chrétienne
Dans le pilier gauche du chœur, une pierre gravée atteste de cette mission d’Evangélisation. Il s’agit d’un chrisme sur lequel sont gravées les lettres grecques du Christ : le khi (X) et le rhô (P), ainsi que l’Alpha et l’Oméga (Je suis le début et la fin).
D’autres curiosités, comme les vases acoustiques enchâssés dans la voûte du chœur sont à découvrir.
L’église est ouverte tous les jours de 10 h à 18 h et se visite grâce à un son et lumière permanent dont la mise en route se déclenche avec la modique somme d’une pièce de 2 €.
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PARRAINAGE CIVIL POUR MAËLYA
Ce samedi fut solennel pour la petite Maëlya.
C’est dans la salle des mariages que Cathy Justet attendait familles et amis venus assister au parrainage civil de Maëlya Sevieri-Licari.
Pas moins de deux parrains et deux marraines avaient répondu favorablement aux sollicitations des parents.
Christelle, Jean-Michel, Nadja et Mickaël se sont donc engagés solennellement pour éventuellement suppléer les parents en cas de défaillance ou de disparition. Ils se sont déclarés prêts à soutenir moralement leur filleule pour qu’elle suive les règles d’intégration dans la famille et dans la société.
Cet engagement moral a été officialisé par la signature d’un document par parents, parrains et marraines.
Maëlya, toujours souriante, a suivi la cérémonie dans le calme et la sérénité dus à la solennité du moment.
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MADAME LA DEPUTEE EN VISITE AU VILLAGE
Informée des problèmes récurrents concernant les lignes téléphoniques de certains quartiers du village, Annie Chapelier, députée de notre circonscription, avait pris rendez-vous avec les élus.
Cathy Justet avec son conseil municipal a pu expliciter tous les problèmes inhérents à ces difficultés de communication.

Annie Chapelier a pris bonne note des informations fournies par les élus, ainsi que des divers problèmes sur la commune
Les habitants du quartier de Pomier, le plus impacté, ont été privés de téléphone pendant plusieurs semaines. En mairie, où de plus en plus de formalités administratives sont informatisées, le secrétariat a trop souvent des difficultés pour jouer correctement son rôle.
Même situation pour les personnels de santé ou d’aide à domicile que l’on a du mal à joindre. Et pour les urgences ? Car il y a des personnes âgées dépendantes sur la commune !
En collaboration avec le Conseil départemental, des rencontres seront organisées avec les opérateurs pour améliorer la situation.
D’autres sujets ont été abordés, notamment les nouvelles règles engendrées par l’adhésion à l’Agglo d’Alès.
Annie Chapelier a ensuite expliqué le fonctionnement des nouvelles dotations, qui devraient remplacer le système des enveloppes parlementaires.
Les élus se sont plaints de la gestion des forêts sur la commune. Aucune information n’est fournie par l’ONF. On découvre des coupes non annoncées et des chemins DFCI obstrués par des grumes, ce qui pourrait poser problème en cas d’incendies.
L’héritage (encombrant !) des Houillères a été présenté. Des infrastructures comme des ponts, qui sont devenues communaux par la force des choses, posent le problème des contrôles pour lesquels la commune n’a pas le financement.
Madame la députée s’est ensuite rendue au quartier de Pomier où les problèmes de téléphonie ont été les plus importants. Elle a pu traverser deux ponts qui mériteraient peut être quelques contrôles.
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UN VILLAGE A VISITER (2) : DE LA CHAUX POUR BÂTIR LES MAS
Pendant des siècles, les habitants des collines cévenoles, souvent bergers, se sont contentés de simples abris. Excavations sous un rocher, abris pratiqués dans l’épaisseur des murs de soutènement, ou constructions plus élaborées telles les « capitelles » ont servi de refuge pour la nuit ou en cas de mauvais temps.
Mais pour construire de vraies maisons d’habitation, la nécessité de « lier » les pierres avec un mortier s’est rapidement imposée.
En de nombreux endroits sur les flancs des collines, on retrouve encore de nombreux restes de fours à chaux, couronnées par un cône en forme de trémie.
Des pierres calcaires, après avoir été plus ou moins concassées, étaient entassées par couches successives en alternance avec des couches de charbon de bois. On utilisera par la suite le charbon de terre.
La chaleur de la combustion du charbon faisait monter la température à plus de 1000 degrés. Après trois à quatre jours de chauffe, les pierres calcaires se transformaient en chaux vive. Rafraîchie à l’eau claire, celle-ci devenait chaux éteinte. Il suffisait ensuite de la mélanger à du sable et à de l’eau pour obtenir du mortier qui servait de liant entre les pierres à bâtir. Les maisons anciennes du village, qui remontent à plusieurs siècles, ont été construites avec ce matériau.
Les mas, (fermes dans le midi) ont été construits de cette façon et agrandis au fur et à mesure de l’évolution des familles.
Le quartier médiéval du Barry en est un exemple caractéristique. Il est à visiter pour la fraîcheur de ses ruelles étroites et tortueuses et pour son architecture caractéristique.
Certains fours à chaux sont encore bien visibles au détour d’un sentier. Le four au-dessus de l’ancien crassier a été réhabilité, il est visible en bordure du chemin emprunté par les foulées de l’Auzonnet.
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